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Charlotte for Ever

Le mieux pour resumer ce film sans le trahir est de laisser son auteur le faire: "Stan, scenariste a la derive, ayant connu sa demi-heure de gloire dans quelque studio hollywoodien des annees cinquante ou soixante, ethylique au dernier deggre, suicidaire forcene. Voit tout en black excepte dans le regard laser et azure de la petite Charlotte. Vertiges de l'inceste et tendresse hallucinogenes." Un Gainsbourg sans fard. Mais nous montre-t-il dans ce film ce qu'il promet toujours de faire sans jamais l'avoir fait ?
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