2.5

La Coqueluche

Un employé de wagon-lits, cherchant un repos bien mérité, en est empêché par le chant du coq de sa voisine. Alors qu'il s'apprêtait à lui régler son compte, on le lui offre en cadeau ; un élastique autour du bec de l'agaçant volatile met provisoirement fin à ses vocalises. Mais l'animal ne peut rester tout seul et Pierre doit l'emmener avec lui et le faire participer à ses voyages nocturnes : on imagine les perturbations qu'il peut causer quand, après avoir été éjecté par la fenêtre d'un wagon, il atterrit dans le fourgon suivant rempli de faisans. Tout ce petit monde se répand dans le train, ce n'est pas du tout du goût du contrôleur ! Pierre parvient à faire endosser la propriété du coq par un jeune voyageur, pas pour longtemps. Toutes les fois que Pierre tente de s'en débarrasser, il lui revient d'une façon ou d'une autre...
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